De l'Australie au Népal : dialogue ouvert avec nos clients (partie 2)
Les témoignages de nos clients sur leur vie et leurs expériences font notre plus grand bonheur, et c'est avec joie que nous les partageons avec vous. Nous avons récemment eu le plaisir d'échanger avec certains des gagnants de notre concours « 500 Reasons » (500 raisons). Réservé aux clients WorldRemit népalais qui envoient de l'argent à leurs proches depuis l'Australie, ce concours était associé à des lots alléchants : un crédit de 500 $ sur le compte WorldRemit des gagnants.
Nous avons pu discuter avec quatre gagnants du concours. Vous trouverez ci-dessous notre échange avec deux d'entre eux, Bhumika et Pradip.
WorldRemit Content Team
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Merci de nous accorder un peu de votre temps aujourd'hui ! Pouvez-vous vous présenter ?
Bhumika: Je m'appelle Bhumika Tamang, je vis à Sydney. Je suis arrivée en Australie en 2016. Je suis venue ici pour mes études et je travaille actuellement à temps plein dans une entreprise dédiée aux émigrants. Nous traitons les demandes de visas de nos clients internationaux, qu'il s'agisse d'étudiants, de couples, etc. WorldRemit m'est très utile.
Pradip: Je m'appelle Pradip Sharma, je vis en Australie depuis plus de quatre ans. Je suis diplômé en informatique. J'ai obtenu mon diplôme à l'université de Sydney, suite à quoi j'ai élu domicile à Canberra.
Le concours « 500 Reasons »
Commençons par parler du concours. Que faisiez-vous quand vous avez appris que vous aviez gagné ?
Bhumika: C'est la première fois de ma vie que je gagne un prix, et pourtant, j'ai participé à beaucoup de concours. Je ne m'attendais à rien, j'ai simplement voulu tenter ma chance. J'étais tellement heureuse ! Au début, je n'étais pas sûre d'y croire, car il y a beaucoup d'arnaques qui tournent. Puis j'ai réalisé que c'était bien vrai, et ça m'a rendue très heureuse.
Pradip: Je vis avec un couple d'amis népalais. Je leur ai annoncé que je venais de gagner 500 dollars, ils étaient surpris. Ils m'ont demandé si j'avais gagné au loto. C'était drôle, j'étais très content.
Que comptez-vous faire de cet argent ?
Bhumika: Je tenais à offrir un cadeau à mes parents, qui me soutiennent depuis des années.
Mes frères et sœurs vivent ici, [mais] mes parents sont restés au Népal. Quand je suis arrivé en Australie, ils ont investi énormément d'argent pour moi, sachant qu'il y a un grand écart entre la valeur des monnaies népalaise et australienne. Ils m'ont aidée financièrement tout au long de mes études. Je me disais qu'une fois diplômée, je pourrais les rembourser petit à petit. Quand j'ai commencé à travailler, je voulais leur envoyer de l'argent pour qu'ils commencent à penser à eux aussi. Mon père est à la retraite et ma mère est mère au foyer, donc ils passent beaucoup de temps à la maison. Récemment, à cause du confinement, ils ne pouvaient plus sortir. Grâce à l'argent versé par WorldRemit, j'ai pu leur acheter une nouvelle télévision. Maintenant, ils peuvent se divertir à la maison, regarder des vidéos YouTube et des films ensemble.
Pradip: J'ai utilisé cet argent pour aider ma femme, qui est coincée au Népal à cause de la pandémie. C'est une situation très frustrante. J'imagine que vous savez que l'Australie a instauré des restrictions très strictes aux frontières depuis le début de la pandémie. Nous nous sommes mariés en novembre 2019 et je suis rentré en Australie en décembre. C'est à ce moment-là que la COVID a commencé à envahir le monde. Ma femme n'avait pas encore son visa, j'attendais qu'elle me rejoigne ici. Les cas de COVID ont commencé à augmenter et le gouvernement australien a fermé les frontières en mars. La situation est devenue compliquée pour nous. Ma femme est encore seule au Népal, alors que moi je suis en Australie. [Avec les gains du concours], je voulais l'aider financièrement et lui permettre de faire quelques achats.
Envoi d'argent avec WorldRemit
Depuis combien de temps utilisez-vous WorldRemit ? Qu'en pensez-vous ?
Bhumika: J'ai commencé à m'en servir en 2019. Un de mes amis au Népal m'a recommandé WorldRemit, je lui ai envoyé de l'argent pour faire un test. J'aime le fait que je peux garder une trace de toutes mes transactions. C'est à partir de ce moment-là que j'ai commencé à m'en servir.
Avant, j'utilisais Hundi. Je n'aimais pas trop ce service, car il ne permet aucun suivi. J'avais vraiment peur que mon argent disparaisse. Avec WorldRemit, je sais quand mon argent arrive à destination, et je peux directement l'envoyer à la banque. En plus, mon père reçoit une notification qui le prévient que de l'argent lui a été transféré. C'est plus simple et très rapide.
Pradip: J'utilise WorldRemit depuis environ 3 ans. J'aime vraiment WorldRemit, c'est très rapide et économique. Tout fonctionne à merveille, c'est super.
À qui envoyez-vous de l'argent au Népal ?
Bhumika: Depuis le début du confinement, j'envoie surtout de l'argent à mes parents, pour qu'ils puissent faire des achats en ligne. J'en envoie aussi parfois à mes amis et à mes cousins, pour leur anniversaire par exemple. Mais la plupart du temps, c'est pour mes parents.
Pradip: La plupart du temps, c'est à ma femme que j'envoie de l'argent. J'en envoie parfois à ma mère et à mon frère, mais surtout à ma femme.
Quand vous envoyez de l'argent au Népal depuis l'Australie, quel impact avez-vous ? Qu'advient-il de cet argent ?
Bhumika: Tout dépend de l'utilité qu'en ont les destinataires. Admettons que c'est l'anniversaire de quelqu'un et que je veux lui envoyer de l'argent. Si je lui envoie 100 $, il peut en faire ce qu'il veut, c'est une somme considérable au Népal.
Pradip: Le taux de change varie, mais en ce moment il est plutôt bon. Avant, un dollar australien valait 75-76 roupies, maintenant ça tourne plutôt autour de 83-85 roupies.
J'ai activé les notifications WorldRemit pour être prévenu à chaque fois [que le taux change], mais il est plutôt stable depuis quelques mois. Il tourne autour de 83.
Avez-vous déjà utilisé d'autres méthodes de transfert d'argent ?
Bhumika: Oui. La dernière fois que j'ai utilisé Hundi, l'argent n'a pas été transféré à la banque du destinataire, qui a dû se rendre ailleurs pour le récupérer. Ce n'était pas très pratique, et c'était stressant. Je transfère des montants conséquents, je ne voudrais pas qu'il arrive quelque chose à l'argent entre l'envoi et la réception. Et si je n'arrivais à contacter personne en cas de problème ?
Pradip: Avant WorldRemit, j'utilisais Hundi. Les taux étaient un peu meilleurs, mais les frais de service étaient plus élevés. Aussi, c'était une solution peu fiable, car ce sont des inconnus qui se chargent du transfert. On transfère juste l'argent à une personne quelconque, qui envoie ensuite l'argent au Népal. Je ne sais pas comment s'y prend cette personne, mais c'est une méthode vraiment risquée. Je me sers de WorldRemit depuis que j'ai découvert que c'était une solution plus sûre.
Émigration en Australie
Depuis combien de temps vivez-vous en Australie ? Qu'est-ce qui vous a poussé à aller y vivre ?
Bhumika: Je suis arrivée en 2016. Je suis venue ici pour mes études. J'ai décroché ma licence, puis je me suis dit que je pourrais trouver un travail ici. Je reste donc pour travailler.
Pradip: Ça fait quatre ans que je vis ici. Je voulais décrocher un diplôme international en informatique, c'est pour ça que j'ai choisi l'Australie. Je suis venu pour mes études, et maintenant je cherche un travail dans le secteur informatique. L'Australie est un pays accueillant pour les migrants. Les Australiens sont gentils et généreux.
Qu'est-ce qui vous plaît le plus dans votre vie en Australie ?
Bhumika: Ici, le mode de vie est bien meilleur que là où je vivais au Népal. Les services de transport sont excellents, on peut circuler facilement. Dans l'ensemble, la vie ici est plutôt bonne.
Pradip: Il y a une grande diversité. On rencontre tous types de personnes qui viennent de partout dans le monde, ce qui rend la vie ici très agréable. Surtout à Sydney ! Cette ville me manque. La vie à Canberra est un peu plus calme.
Qu'est-ce qui vous manque au Népal ?
Bhumika: La nourriture, surtout la cuisine de rue. Le Népal a tout un éventail de spécialités culinaires, dont les momos : des raviolis farcis à la viande ou aux légumes. C'est un plat très important pour nous.
À vrai dire, les vrais momos me manquent. Ici, on n'en trouve pas d'aussi bons.
Pradip: Ce qui me manque surtout, c'est ma famille, sans hésiter. Ma femme, ma mère et mon frère. Mes amis me manquent aussi beaucoup.
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