Reste que les systèmes de paiement mobile sont très disparates sur le plan des technologies utilisées. Seuls quelques-uns sont basés sur des plates-formes répandues telles que celles d’Ericsson, la plupart ayant été conçus sur mesure.
Pour WorldRemit, cette diversité implique un gros travail sur le plan de l’ingénierie afin de réaliser des intégrations directes, puisqu’il s’agit de relier des systèmes qui n’ont pas été conçus pour interagir au départ. Le tout dans le but d’obtenir une expérience fluide en termes de fonctionnement.
En dépit des difficultés inhérentes, cette entreprise reste nettement moins compliquée que de créer un nouveau portefeuille mobile qui serait universel.
PayPal propose une telle solution qui traite moins de la moitié des transactions enregistrées par les services de Mobile Money dans le monde, sachant que ces dernier croissent plus de trois plus vite !
Reliés au monde
Comme l’a compris WhatsApp, la fragmentation est un défi mais aussi un atout concurrentiel. Nos partenaires sont conscients du besoin de connecter leurs services locaux au reste du monde.
Les banques, les opérateurs mobiles et les agents de collecte d’espèces font la moitié du chemin en développant des interfaces de programmation (API) qui nous permettent d’intégrer notre service avec leurs systèmes, ou de connecter ces derniers avec les API de WorldRemit.
Nous étendons notre réseau rapidement en profitant de l’infrastructure de nos partenaires locaux, ainsi que de leurs équipes et de leur connaissance de notre marque. Lorsque WorldRemit couvre un nouveau pays, notre offre est déjà adaptée aux habitudes, aux comportements et aux besoins de la population locale.